Finalement depuis que Raymond Domenech est à la tête de l’équipe de France rien n’a vraiment changé.
Car si l’on excepte la miraculeuse parenthèse de la Coupe du Monde 2006 (à partir du match de l’Espagne), l’équipe de France façon Domenech se caractérise par un jeu insipide et ennuyeux. De plus, l’incapacité du sélectionneur français à pratiquer un coaching susceptible de débloquer les situations difficiles, couplée à son arrogance naturelle rend cette situation encore moins supportable.
L’on est par conséquent partagé entre deux sentiments :
– le premier, bien légitime de voir les bleus exprimer collectivement et sur le terrain le fantastique potentiel individuel de ses joueurs et ainsi aller loin dans la compétition.
– le second de voir la France s’écraser dans le mur vers lequel elle se dirige afin que Domenech soit remercié au plus vite et que l’on puisse repartir sur un nouveau cycle avec un nouvel entraîneur (Deschamps ?, Blanc ? Tigana ?).
Le journal le Parisien, à l’issue du nul piteux en poule contre la Corée (1-1) en 2006 avait pesé les chances pour l’équipe de France d’aller loin lors de la coupe du Monde allemande bien mal engagée l’époque.
Dans le contre il y avait pêle mêle la médiocrité du jeu déployé, l’absence de coaching et l’inefficacité de l’organisation tactique, la faillite indviduelle de plusieurs joueurs. Dans le « pour » une chose était présente : … la chance légendaire de Domenech.
Aujourd’hui rien ne dit que l’histoire se répètera.
Yannick, le Docteur ès sport.
Tout ça sera confirmé lors des 3 derniers matchs dit de « préparation » :
Pas de quart cette année !